L’HUMEUR DU MOMENT !

Une page pour partager mes humeurs…
Ne vous y trompez pas !
Sous mon air bonasse (à gauche)
se cachent parfois des cactus (à droite).

N’entrez sur cette page que si vous vous sentez moralement armé pour le faire !


Un réveil d’altruisme et de générosité qui réchauffe le cœur !

Nous avons vécu des moments difficiles que nous voudrions voir loin derrière nous.
Beaucoup de morts. Beaucoup de souffrances. Et la misère pour beaucoup.
Au moins nous aurons trouvé une grande bouffée de fraîcheur dans cet enfer. Et c’était bien inattendu.

Nous pensions vivre une époque égoïste, le culte du chacun pour soi et de la démerde. Nous pensions chacun plus préoccupé de sa petite personne que de ce qu’il adviendrait au voisin, à l’autre, à l’inconnu, à l’étranger.
J’avoue que c’est ce que je pensais encore en février 2020. C’est vous dire mon étonnement quand j’ai compris l’étendue de mon erreur. J’ai même eu la honte de mes anciennes pensées et aussi -je l’avoue- j’ai écrasé une larme quand j’ai vu les flots de tendresse, d’altruisme, de générosité et d’amour du prochain qui soudain se déversaient sur la France, si loin de mes honteuses croyances !

Oui, la France est généreuse ! Oui, chacun ne pense qu’à protéger et sauver les autres! C’est infiniment beau et mériterait des concerts de casseroles et une reconnaissance à perpétuité.

Car, on le savait dès la premier jour : le masque ne sert pas à grand chose ! Il est indispensable pour les soignants à l’Hôpital du fait d’une grande circulation de virus et de gestes intrusifs. Il est utile dans les transports en commun du fait d’une promiscuité incontournable. Partout ailleurs le masque protège beaucoup moins bien celui qui le porte qu’un simple recul d’un mètre. Et si vous vous retournez vous constaterez que nous disposons sans pénurie de ce mètre de recul. Et donc sans polémique.

Mais, par contre, le masque protège les autres. Si nous toussons, si nous éternuons nous propulsons nos virus vers l’autre et c’est tout l’intérêt du masque de protéger l’autre.

Ainsi si l’on a vu des luttes acharnées pour se procurer des masques, si l’on a vu des vols, des dénonciations, si l’on a vu traîner des numéros de cartes de paiement sur internet, si l’on a vu des queues interminables et parfois beaucoup de nervosité, la seule raison de ces mouvements qui auraient bien pu renverser un gouvernement c’était le souci de protéger les autres des saloperies de miasmes que nous transportions dans nos « propres » poumons.

On a vu pendant la guerre des Justes protéger des Juifs en se mettant en péril mais ils étaient peu nombreux. Dans cette pandémie tout le monde s’y est mis et on s’est arraché les masques pour ne pas contaminer les autres.

Ce sera mon plus beau souvenir de ces moments tragiques.

À moins que certains aient cru que les masques les protégeaient aussi des autres ?                

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Le connard aux virus…

L’avez-vous rencontré sur les réseaux sociaux le connard aux virus qui répand ses théories farfelues et souvent abjectes parmi nos concitoyens et aussi parmi les citoyens comme vous et moi ? De l’ail, du fenouil, des laboratoires alambiquées et secrets, une pincée de chinois pour dominer le monde et la soupe est prête à servir. À la louche. Et c’est un euphémisme !

Faut-il qu’il ait souffert le connard au virus pour tenter ainsi de s’extraire de sa gangue en contaminant les naïfs qui l’écoutent ! Faut-il qu’il soit petit le connard aux virus pour vouloir ainsi nous prendre de haut avec ses discours pleins de vide.
Certaines de ses théories deviennent virales. Réponse du berger à la bergère ? Simple contagion ? Ou métastase ?

La France a peur. Beaucoup se posent des questions. Les théories du complot fleurissent comme des pissenlits sur ce champ fertile où chacun est un peu l’épidémiologiste de l’autre, qui lui-même est l’infectiologue du précédent.

Les théories de ces Savants sont toujours les mêmes mais elles peuvent resservir à l’infini et se propager en boucle car il serait dommage de la boucler quand tant d’oreilles se tendent. Et l’on se doit aussi de taguer les pissotières pour s’assurer que nul influenceur n’échappe au Savoir que nos politiques voudraient tant nous cacher.
Beaucoup de ces Savants de la dernière heure ne disposent que de 400 mots mais c’est un vocabulaire suffisant pour oser les phrases qui prouvent qu’on a tout compris et qu’à nous on ne la fait pas. Les Feux de l’Amour, épisode 7905, saison 44 peuvent attendre. Et Minecraft aussi. Priorité à la Science et au partage des Connaissances.

Pour les followers du connard aux virus. Pour ceux-là seulement.

 

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Le corona n’est pas la grippe !

En ces temps où beaucoup souhaitent devenir calife à la place du calife, je révise l’histoire du vizir Sissa ben Dahir.
C’était en Inde il y a 5000 ans. Environ.
Le roi Shirham s’ennuyait à cent sous l’heure. Il ne fut distrait que quand le grand vizir lui proposa le jeu d’échec qu’il venait de créer de toutes pièces : tour, cavalier, fou et reine aussi. Le roi dans sa tour était fou de joie. Il demanda à son vizir quelle récompense il souhaitait.
Le vizir allait damer le pion au roi… Il proposa de poser un grain de riz sur la première case du jeu, deux sur la seconde, quatre sur la troisième, huit sur la suivante. Puis seize et ainsi de suite sur les 64 cases. Le roi était déçu. Il imaginait un plus royal cadeau. Il pensa « I am sorry, my vizir is no good ». Car il parlait un bel anglais depuis son stage de remise à niveau à Oxford. Pour autant il ne se pendit pas mais il s’exécuta.
Il dut recevoir en urgence et sans rendez-vous son Ministre des Finances : « Votre Majesté est bien culottée : la voilà ruinée ! Sur la seule soixante-quatrième case il faudra 9 223 372 036 854 775 808 grains de riz, imaginez si l’on additionne toutes les cases ! ».
Le Roi en restait sur son Royal Cul. Le Ministre insistait… « C’est comme le coronavirus, Sire ! La grippe se transmet en moyenne à 1,1 membre de l’entourage. Au bout de 10 générations de transmissions il y a 18 grippés. Le coronavirus se transmet à 2,5 contacts. C’est pour ça qu’au bout de 10 générations de transmissions il y a 15 893 de vos sujets atteints ».
« Je suis dans la merde songea sobrement le roi. Il y a un blème et lui-même
ne l’était pas moins. Il ajouta en postillonnant : décidément le corona
n’est pas la grippe !
 ».
C’était il y a 5 000 ans, bien avant les réseaux sociaux.                                    Retour à la page d’accuei

La Tr.nspar..ce

Un grand mot qui est aussi un grand remède transparaît dans les médias et les discours de nos édiles sans même qu’on y prête attention. Parce que c’est un mot qui n’accroche pas le regard, qui n’attire pas l’œil et qui passerait inaperçu si je n’étais pas là pour mettre le doigt dessus au risque de passer la main à travers.

C’est le mot « transparence ».

Transparence de la vie publique, transparence des recettes et des dépenses, transparence des programmes et des projets… Un nouveau ministre ? Il le dit : il sera transparent. Transparence des raisons d’un départ et d’une arrivée. On voit bien : tout est transparent. Vu d’un côté comme de l’autre.

Néanmoins je voudrais mettre en garde contre un risque de la transparence suite à la mésaventure récente d’un ami.

Il avait mis ses promesses électorales listées et budgétées en toute transparence dans une cariole attachée derrière son auto et il était parti faire la tournée des panneaux électoraux. Soudain il entendit une sorte de tintamarre insipide et inodore. Comme un accès de tohu-bohu ou de tintouin mais parfaitement silencieux. Il jeta un œil dans son rétroviseur : tout était transparent ! Il pensa donc qu’il avait perdu en chemin les promesses de ses affiches qui devaient placarder son programme en toute transparence sur les murs de la commune. Il enclencha la marche arrière mais il n’avait pas fait vingt mètres qu’il fut happé dans un trou transparent qu’il n’avait pas entendu venir.

Aujourd’hui il est tiré d’affaire mais il insiste : « la transparence c’est bien, mais il faut faire toute la lumière sur elle pour qu’elle soit bien visible et qu’on la voit venir de loin ».





Un sauveur incompris …                   9 mai 2020

C’est l’Histoire d’un Grand Médecin qui a mis au point un Traitement pour sauver des millions de ses contemporains de la plus effroyable et meurtrière des maladies.
Et, contre toute attente, ce Sauveur de l’humanité ne fut pas compris.

Son protocole faisait merveille. Ses publications répétaient à l’envi l’ampleur de ses succès.
En ayant su, par sa Science, vaincre la mort il devint vite l’idole, le demi-dieu de toute une population résolue à mourir le moins possible grâce à ses bons soins.


Les politiques de droite le portait au pinacle. Les médias TV lui consacrèrent jusqu’à 36% de leurs prime-time et tous les journaux publièrent en moyenne 100 articles chacun sur ses travaux.
Et que faisaient les scientifiques ?

Ils boudaient… Ils trouvaient à redire, les scientifiques ! Ils prétendaient que les preuves ne prouvaient rien. Et pendant que la mort avançait inexorablement leur seule stratégie était de reculer en lui laissant le champ libre. Coupable distanciation.


La science réclamait des preuves et quand notre Sauveur donnait ses probantes statistiques, ils mégotaient sur la méthodologie de ses publications comme si la mort était la cousine germaine de la méthodologie.
Dans chacune des publications de cet Immense Savant ils trouvaient un biais.
Sous la pression de l’opinion publique et des pétitionnaires, le gouvernement réticent vacilla quelques semaines mais il tint bon.
Et, naturellement, ce fut ce massacre qui dure encore aujourd’hui.


C’était le Professeur Luigi Di Bella, de Modène en Italie, à la fin des années 90. Il venait d’obtenir 100% de guérisons du cancer avec un mélange d’hormones à sa façon.                 

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Le Cannabis légal, ça n’a jamais commencé et en plus… c’est déjà fini !

UN REGARD SUR L’ACTUALITÉ AU GRÉ DES HUMEURS
(bonnes ou mauvaises)